Me Jean-Pierre VERCAMER (Cabinet DELOITTE) ainsi que Viviane TCHERNONOG (CNRS – Université Paris 1 Panthéon Sorbonne) ont enquêté sur les différents facteurs de fragilité des associations.
Cette analyse montre que les associations ont de plus en plus recours à des recettes d’activité publiques et privées (41%) pour pallier aux subventions publiques qui apparaissent comme la ressource la plus instable.
L’indicateur de fragilité principalement invoqué est la baisse des subventions publiques pour 48 % des associations interrogées.
Par ailleurs, il ressort que le volume global des subventions est en constante diminution.
- Et si l’ESS profitait (aussi) de la Bourse ? - 23 février 2023
- Spectacle vivant et emplois durables : aides prorogées jusqu’au 31 décembre 2025 - 22 février 2023
- Enquête : Les associations face à l’inflation - 21 février 2023
Notes:
NULL