L’économie sociale et solidaire (ESS) rassemble des organisations qui se définissent par leur statut – non-lucrativité, gouvernance qui s’affirme démocratique – ou par leur objet social spécifique (ex : réinsertion dans l’emploi de personnes en difficulté, agriculture biologique, commerce équitable, énérgies renouvelables, etc.). Si quelques économistes de renom travaillent sur le sujet, la majorité de la profession néanmoins, y compris parmi ceux qui se montrent favorables à une transformation de notre société, manifeste un intérêt limité pour cet objet que ce soit dans leurs travaux académiques ou dans leurs interventions médiatiques.

Pourquoi cet intérêt ? Est-ce lié à l’objet ESS, à son hétérogénéité ? A son potentiel de transformation sociale jugé limité par certains ? Ou est-ce aussi aux limites propres à la science économique qui peine à se saisir d’une démarche qui ne correspond guère à ses hypothèses fondatrices ? Vous pouvez accéder à la note de synthèse rédigé par Philippe Frémeaux, éditorialiste à Alternatives Economiques, suite à l’enquête qu’il a réalisé auprès de 24 économistes, à la demande du Labo-ESS, think tank présidé par Claude Alphandéry, et avec le soutien de de l’Institut CDC pour la recherche.

Source : www.alternatives-economiques.fr

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Note de synthèse






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